Je suis arrivée à 15h00 à la gare du Luxembourg après 3h19 de déplacement. Après 48h d’échanges épistolaires digitales rendant obsédante l’envie de l’embrasser. Après 504h depuis notre dernière rencontre qui aura laissé, sans aucun doute, une impression de déjà
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Attablée seule à cette longue table de l’hôtel, je sens monter ce triptan qui tente de faire fuire cette migraine violente qui a pris place à l’euphorie sexuelle de la nuit dernière. Casque antibruit sur les oreilles, Max Ritcher s’invite
1 / Des préliminaires avant les préliminaires regards_coupables Pour faire frétiller un sexe féminin et
Il est 2Oh30; suffisamment tard pour que le bâtiment soit vide. La soirée est légèrement
Il est 7.20, les rues sont désertes, je sors de chez lui.J’ai ce sentiment étrange mais connu d’un rendez-vous sans lendemain.Cette pudeur matinale de
Je ne crois pas en la chance, mais en la ténacité. Je ne crois pas au hasard, mais aux opportunités. Je n’ai pas de
Quatre jours sans sexe. Quatre jours sans me toucher. Quatre jours sans avoir d’envies. Quatre jours pendant lesquels j’ai oublié mon corps et les
Je sors du bureau retardée par l’appel d’une cliente. Je rentre dans sa voiture et le découvre pour la première fois. Il est au
Je suis arrivée à 15h00 à la gare du Luxembourg après 3h19 de déplacement. Après 48h d’échanges épistolaires digitales rendant obsédante l’envie de l’embrasser. Après 504h depuis notre dernière rencontre qui aura laissé, sans aucun doute, une impression de déjà vu douloureux. Me voilà face à cette porte, sacs à la main, vidée par ce trajet qui aura transformé mon
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Attablée seule à cette longue table de l’hôtel, je sens monter ce
1 / Des préliminaires avant les préliminaires regards_coupables Pour faire frétiller un
Il est 2Oh30; suffisamment tard pour que le bâtiment soit vide. La
Dans cette profondeur noire et obscure, elles brillent, scintillent, vivent et meurent.
Je suis arrivée à 15h00 à la gare du Luxembourg après 3h19 de déplacement. Après 48h
Attablée seule à cette longue table de l’hôtel, je sens monter ce triptan qui tente de
Il est 2Oh30; suffisamment tard pour que le bâtiment soit vide. La soirée est légèrement fraîche
Mon corps est d’une mollesse paralysante, imprégnée d’une fatigue qui rend ce réveil trop matinal incohérent.
Je sors du bureau retardée par l’appel d’une cliente. Je rentre dans sa voiture et le
Je suis arrivée à 15h00 à la gare du Luxembourg après 3h19 de déplacement. Après 48h d’échanges épistolaires digitales rendant obsédante l’envie de l’embrasser. Après 504h depuis notre dernière rencontre qui aura laissé, sans aucun doute, une impression de déjà vu douloureux.
Attablée seule à cette longue table de l’hôtel, je sens monter ce triptan qui tente de faire fuire cette migraine violente qui a pris place à l’euphorie sexuelle de la nuit dernière. Casque antibruit sur les oreilles, Max Ritcher s’invite presque machinalement
1 / Des préliminaires avant les préliminaires regards_coupables Pour faire frétiller un sexe féminin et l’envoyez au septième ciel, je vous invite à éveiller tous les sens de votre partenaire. Commencez par des gestes doux et tendres sur tout son corps. Une
Il est 2Oh30; suffisamment tard pour que le bâtiment soit vide. La soirée est légèrement fraîche et s’est accompagnée d’une averse qui s’arrêta aussi vite qu’elle commença. Nous sommes en automne.Trempé par la pluie, je l’accueille un essuie à la main et
Dans cette profondeur noire et obscure, elles brillent, scintillent, vivent et meurent. Un cycle de vie qui ressemblent étrangement au nôtre, en parfois moins brillant, moins étincelant; on vit et meurt. Cette immensité que l’on a tendance à oublier et qui nous
3h55…Insomnie. Mon sexe frétille. Je ferme les yeux et je sens encore sa queue glisser en moi. Un goût de trop peu lors de sa venue d’hier après-midi. — J’ai envie de te prendre sans préliminaires, par derrière. — Viens, on monte.
Sans avoir besoin de fermer les yeux, je te ressens encore en moi.Tu es si présent. C’est mon cœur qui prend le plus cher. Écrasé dans cette cage thoracique qui m’empêche de respirer, il est oppressé par cette séparation aussi douloureuse qu’inacceptable.
Mon corps est d’une mollesse paralysante, imprégnée d’une fatigue qui rend ce réveil trop matinal incohérent. L’envie de te toucher, l’envie de te sentir, l’envie de baiser est présente. Dos à moi, je t’entends respirer. Sans trop d’énergie, je me colle à
Être l’un dans l’autre, être l’un et l’autre, n’être plus rien l’un sans l’autre. Le temps d’un instant, se figer et ressentir mille fois des sensations qui font vibrer notre cœur jusqu’à notre sexe. Avoir un regard profond qui s’intensifie à chaque
